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11.26.2007

GRÜN

La compagnie Contrepoint - Yan Raballand
vous présente

GRÜN
Création en jardin

« Le Jardin Lecoq a revêtu son tapis de scène avec les « contre-plongées » pour une pièce insolite. Entre chants d’oiseaux et musique baroque, le spectateur se laisse bercer par la douceur. Durant un instant, on oublie le bruit, la ville… »
Jessica Clouvel – La Montagne – 27 juillet 2006

Créée au Jardin Lecoq de Clermont-Ferrand
En juillet 2006
Chorégraphie : Yann Raballand
Interprètes : Evguénia Chtchelkova, Bérengère Fournier, Muriel Turpin, Aurélien Le Glaunec, Edouard Pelleray
Musiques : Andréa Falconiero, Jean-Sébastien Bach, Georg-Friedrich Haëndel, Marin Marais, Antonio Vivaldi, Alessandro Scarlatti
Costumes : Dominique Fabrègue, assistée de Camille Hardy et de Marie Hubert
Son : Marc Piera
Pour sa création 2006 la compagnie a bénéficié du soutien financier de la Ville de Clermont-Ferrand, du Département du Puy de Dôme, de la Région Auvergne et du Ministère de la Culture (Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Auvergne). Remerciements à la ville de Beaumont qui a accueilli la compagnie à la Maison des Beaumontois.


GRÜN

Prononcé « grun » signifie : vert adj¸ couleur
verdoyant, verdoyante adj.
vert(e) adj¸ POL
écologiste adj¸ POL
espace {m} vert
verdure {f}

L’idée de Grün a deux origines. L’allusion de la costumière Dominique Fabrègue sur mon manque d’intérêt pour le vert, et mon envie de travailler sur une communauté imaginaire.

À partir de ce moment, je n’ai cessé de relier ces deux points et je me suis aperçu que je ne regardais plus assez la nature.

Le Grün est un être hybride à la fois humain, animal et végétal. Il pourrait vivre dans notre jardin. Il partage nos désirs et nos peurs. Il n’a pas d’activité utile mais une place nécessaire et pourtant il est en voie d’extinction. Par oubli. Comme tout ce que l’on oublie de regarder peut disparaître.
Il danse pour survivre.

À partir de là, je me suis demandé comment les interprètes pouvaient créer et incarner un autre corps à travers leurs propres corps et sensations. Dans le jardin, les danseurs développent un état animal, presque primitif, paradoxalement élégant, avec l’extraordinaire mélange d’un abandon serein du corps et d’une présence constamment à l’affût. À cette manière d’être se mêle une chorégraphie complexe et précise utilisant une gestuelle fluide qui trace, tranche, dessine l’espace, créé et transforme des volumes.

J’ai fait le lien avec la musique baroque par intérêt de vouloir l’entendre différemment et parce qu’à l’époque des comédies ballets jouées en extérieur, on voyait déjà apparaître des êtres hybrides aux intermèdes.

L’union d’une musique considérée comme belle et savante et l’étrangeté de ces êtres nous donne une autre vision du baroque aujourd’hui.

Pour les costumes, notre envie était une plante grimpante envahissant les corps. Après une recherche de matière, nous ramenant aux costumes du début du XXe siècle, nous avons préféré suggérer cette idée par une sorte de ruban de verdure s’enroulant autour du corps comme une seconde peau.

Les Grüns portent en eux une poésie avec tout ce qu’elle comprend de léger et de tragique. Ils nous paraissent étrangers et pourtant ils nous ressemblent.

On observe les Grüns comme on regarderait ceux qui nous entourent.

Yan Raballand


Premières impressions après la création

« Les premiers jours de travail dans le jardin Lecoq m’ont surpris pour plusieurs raisons. Le public était dans une nouvelle attention, une surprise, une interrogation. Et ces Grüns, une fois le jardin envahi, paraissaient y vivre depuis des années. Ces êtres m’ont raconté qui ils étaient, comment ils vivaient : leur plaisir à couler dans l’herbe, leur désir du mouvement, leur jeu de séduction, leurs craintes et leurs forces… »


Conditions de diffusion

La pièce s’adapte à chaque nouvel espace.

Espace gazon entretenu d’un minimum de 9 X 9 mètres le plus plat possible
Son : 3 points de diffusion + 2 platines CD
Un espace prévus pour les loges des danseurs
1 représentation : 3 500 € ht en cession
2 représentations : 6 000 € ht
8 personnes en tournée
Hébergement et repas
2 nuits sur place
Hébergement en hôtel ** minimum (avec petit-déjeuner)
2 défraiements repas (tarif syndeac)
par jour et par personne

Transport
Aller-retour sur la base d’un trajet en 2e classe SNCF
domicile / lieu de diffusion

Contacts
Valérie Claisse, Administratrice de production
2 rue de sève
69 001 Lyon
( 06 18 78 27 07/ 04 78 39 88 38
compagnie.contrepoint@laposte.net
valclaisse@club-internet.fr

Yan Raballand, Chorégraphe
5, rue des Aimés
63000 Clermont-Ferrand
06 12 42 48 76
yan.raballand@wanadoo.fr

crédits photographiques : Sandrine Chapuis

9.15.2007

PERSPECTIVE (S)


Performance de la compagnie 29x27

Chorégraphe : Matthias Groos
Mise en espace : Gaëlle Bouilly
Distribution : de 3 à 5 danseurs


Pourquoi une troupe de danseurs ne viendrait-elle pas investir un espace de promenade, sur ces lieux spécifiques qui sont les parcs, les chemins, les jardins, les dunes etc…
Offrir un spectacle informel ou le vent, le soleil, la chaleur, la végétation seraient pris en compte, pour étonner, surprendre et séduire des spectateurs qui auraient le choix de regarder ou pas, de choisir également son point de vue : de plain-pied ou la promenade en hauteur…

Laisser l’œil découvrir l'espace et se positionner.
Se laisser distraire par l'empilement des corps et des tables et soudain, dans un moment fugace, percevoir l'union subtile de l'espace exploité et les directions des corps des danseurs pour mettre en lumière cette symbolique forte qu'est la ligne d'horizon.


MATTHIAS GROOS -CHOREGRAPHE-

«Tout espace induit pour celui qui s’y insère une relation intime qui va provoquer un certain comportement. L’individu aura une appréciation toute subjective de cet espace. Cette vision sera entérinée par la fonction même du lieu dans lequel se situe la personne.
Exemple : le bord de mer, la plage = détente, vacances, farniente…

Il ne s’agit donc pas de créer un événement narratif autour d’un argument traditionnel mais plutôt d’adapter selon les lieux un parcours et quelques angles de vues spécifiques et choisis qui s’articuleront comme une performance ludique et poétique.

L’insertion d’un objet du quotidien (tables d'écoliers) permet de rattacher le spectateur à un référent qu’il connaît et qu’il associe aussi de façon automatique à une fonction (comme les espaces) et que les danseurs détourneront afin de créer de l’imaginaire.
Le mouvement dansé se diluant dans l'espace infini, la table permet tel un piédestal de prolonger et structurer les corps et les propositions de mouvements.
Ces « confrontations inopinées » révèlent ce qui est notre rapport aux choses, aux êtres, à l’espace et donc forcément à soi. En fin de compte cette proposition est une façon d’appréhender la vie sous un autre angle ! »


GAELLE BOUILLY – SCENOGRAPHE-

« « Le paysage est une vue d’ensemble qui se développe devant soi :
Un espace, un bel espace, un bel espace alentour, un bel espace tout autour de nous… »

Le paysage c’est d’abord l’appréhension du paysage ; c’est un lien intrinsèque qui unit le paysage à l’observateur qui pour cette fois deviendra spectateur.

Les danseurs viendront s’intégrer dans cet espace, dans l’étendue qui se développe devant le spectateur et le mettre en mouvement. Modifier un morceau du territoire et prolonger sa forme en « se fondant dans la masse ». Lui redonner une dynamique et un rythme.

Le mouvement sera donné grâce à la gestuelle du danseur et pour une fois par le déplacement du spectateur. Il deviendra acteur de la mobilité du paysage. Le spectateur cadrera son image où il le souhaite. Le passant aussi rentrera dans l’image de la performance et deviendra acteur de cette nouvelle image pour les autres spectateurs.

Le paysage est directement lié à une autre notion qui est la ligne d’horizon. L’événement que nous allons créer jouera –selon les sites- avec cette ligne qui vient diviser la terre et le ciel. Les danseurs travailleront autour de cet élément construit dans un jeu de mimétisme : redessiner la ligne, dans un jeu de cache-cache tel des funambules provocant le vertige. »

Compagnie 29x27 / 71, résidence des dunes / 56410 ERDEVEN / M. Groos : 06 66 53 27 65 / G. Bouilly : 06 60 62 33 63

8.24.2007

Rencontre-cénacle-laboratoire, les 4 et 5 septembre 2007

Notre grand Maître des cérémonies sera André Curmi, responsable de l'Observatoire régional du spectacle vivant en Poitou-Charentes.

Intervenants :
• Isabelle Auricoste, paysagiste, membre du CEPAGE, maître-assistant à l'ENSAPB, lauréate du Grand Prix du Paysage 2000
• Christophe Blandin-Estournet, directeur du festival Excentrique (région Centre), ancien responsable de la programmation Arts du Cirque, Rue et Marionnette au Parc de la Villette
• Claude Gudin, ancien jardinier diplômé de la ville de Paris, ingénieur-docteur en physiologie végétale, poète et pataphysicien à ses heures
• Philippe Saunier-Borrell, directeur de Pronomade(s) en Haute-Garonne, Centre National des Arts de la Rue, scène conventionnée pour les arts publics
• Jean-Paul Dumas, directeur du centre culturel de Terrasson, scène conventionnée « Scènes du paysage » (Dordogne)
• Denis Lecat, chargé de programmation des spectacles vivants au Domaine Départemental de la Roche Jagu (Côtes d'Armor)
• Gabriel Lucas, directeur du Nombril du Monde

Les choses pourraient se dérouler comme suit :

Mardi 4 septembre
9h30 : Café – Croissants (pas d'ptitié !)


10h : Présentation des journées par Gabriel Lucas

10h15 : Thème 1 : l'objet artistique des Arts du chemin, le rapport à la nature, au paysage, à l'environnement,...

La nature enchanteresse, divine, infernale, a toujours
été source d'inspiration, et souvent lieu de création. Mais le fait que l'on se
pose aujourd'hui la question des Arts du chemin semble provenir de différents
facteurs historiques récents : un ré-investissement de l'espace public par le
spectacle vivant depuis une trentaine d'années au travers des Arts de la Rue ;
un développement de l'action culturelle en milieu rural ; une prégnance des
questionnements liés au rapport Homme / Nature dans notre société,... La
convergence de ces facteurs suffit-elle à faire émerger un nouvel objet
artistique ? En quoi les Arts du chemin sont-ils spécifiques, sur le fond, sur
la forme, dans leur rapport à l'espace ? Peut-on parler d'un ré-enchantement art
/ nature ?
Nous vous proposons de travailler autour de ces questions à travers trois ateliers qui nous permettront de toucher les limites des Arts du Chemin sur plusieurs plans afin d'essayer d'en cerner mieux les contours.
Rapilotage d'idées par Isabelle Auricoste et Christophe Blandin-Estournet

11h : ATELIERS déambulatoires (?)
- Atelier a : Nature, environnement, paysage
Les Arts du chemin entretiennent-ils un rapport spécifique à l'espace ?
- Atelier b : De la légitimité d'une forme artistique émergente
Arts du chemin ou Arts de la Rue à la campagne ?
- Atelier c : Art et société
Les Arts du chemin : réponse artistique spécifique aux problématiques sociétales contemporaines ou simple effet de mode ? tendance? phénomène?

12h : Interclasse-café

12h15 : Synthèse, débat...

13h15 : Repas bucolique
Benaiserie, sieste, surprises artistiques, visites...

15h45 : Thème 2 : Est-ce que les Arts du chemin apportent de nouvelles données/une nouvelle réponse aux relations triangulaires public/oeuvre/artiste ?

La relation aux publics, aux populations, aux territoires reste un enjeu majeur
du développement culturel. Les Arts de la Rue, ces dernières décennies, ont
largement contribué à modifier les frontières sur ces questions. L'investissement de « nouveaux » lieux (parcs, châteaux, jardins, PNR, sites naturels,...), l'évolution des formes, des thèmes, sont-ils susceptibles de les déplacer encore ? Qu’est ce qui fait lien entre le message artistique, ses publics, ses populations, ses praticiens, usagers ou consommateurs ? Y a-t-il une requalification ou une qualification nouvelle de ce lien à travers le concept des Arts du chemin ?
Plus spécifiquement, comment l'art, et notamment le spectacle vivant, peut accompagner une démarche de médiation à l'environnement, au paysage, etc. Comment peut-il être un passeur pour les lieux/professionnels du paysage et de l'environnement ? Enfin, est-on face à un « nouveau marché » pour le spectacle vivant ? Et dans ce cas, s'inscrit-il dans une économie sociale et solidaire ?
Mise en bouche truculente par Claude Gudin et Philippe Saunier-Borrell.

16h30 : ATELIERS en mouvement
- Atelier a : La relation oeuvre – publics – populations – praticiens – usagers – consommateurs...
Les Arts du chemin engendrent-ils de nouveaux liens ? Offrent-ils de nouvelles pistes ? Ou proposent-ils d'autres conditions pour que des liens se créent?
- Atelier b : médiation artistique / médiation civique : d'une donne nouvelle et de ses limites
L'art en général et les Arts du chemin en particulier ont-ils un rôle à jouer dans la sensibilisation à l'environnement et au paysage ? Quelles sont les limites de cette approche ?
- Atelier c : Economie culturelle
Un nouveau « marché » potentiel ? Pour quelle type d'économie ?

17h30 : Mi-temps

17h45 : Synthèse, débat...

19h: Impromptus

20h : Dîner bien mérité

Après repas : Fin de soirée artistico-digestive


Mercredi 5 septembre
9h30 : Thème 3 : L'intérêt d'un réseau ?

Les deux questions précédentes nous auront permis d'interroger la pertinence
même du concept des Arts du chemin, d'en dessiner les limites et les
perspectives. Il s'agit ici de s'intéresser à l'utilité du réseau et à ses
fondements. Autour de quoi ? Comment ? Pour quoi faire ?

Introduction artducheminesque par Jean-Paul Dumas, Denis Lecat et Gabriel Lucas

10h15 : ATELIERS pédestres
- Atelier a : répertorier, faire du lien, faire connaître...
La nécessité d'un répertoire des Arts du chemin ?
- Atelier b : réfléchir, s'interroger, rechercher...
Comment créer les condition d'une exigence artistique ?
- Atelier c : développer, accompagner, co-produire...
Quel accompagnement collectif ?

11h15 : Récréation

11h30 : Synthèse, débat...

12h30 : Lunch champêtre
Sieste, benaiserie, délassement agrémenté...

15h30 : SYNTHESE GENERALE – Tous ensemble !
Grand débat
Perspectives...

17h30 : Fin des rencontres, échanges des numéros, nouveau départ pour le réseau des Arts du chemin...

8.03.2007

A un fil

À un fil – Solo à l’air libre

À un fil est un solo de danse contemporaine souvent présenté dans le cadre original d’une randonnée – spectacle. Le public chemine, le temps d’une promenade, pour accéder à l’endroit de la représentation, au détour d’un chemin. En ce lieu, il assistera au spectacle d’À un fil, bercé par le silence de la nature.
La marche procure une disponibilité et une écoute particulières : entrer en contact avec la nature pour mieux recevoir la danse ; dans le silence, se laisser toucher par cet art et percevoir autrement l’environnement naturel.



La danse d’À un fil, avec ses états de corps induits par un travail radical du souffle et de l’essoufflement, fait écho à l’expérience de la marche, et de la dépense physique mettant en jeu une gestion spécifique de la respiration.
Porte privilégiée pour entrer en résonance avec le milieu naturel, le travail du souffle est la matière essentielle de ce solo :

« Créer une matière corporelle dans un jeu constant avec le souffle.
Explorer les infinis possibles des liens entre le mouvement et le souffle.
Que peut un corps quand son souffle est contrarié ?
Traversé de respirations forcées, parfois en apnée, il frôle l’implosion.
De ce souffle contraint, de la syncope et du rire, s’échappent des gestes et sons inouïs. »


Chorégraphie et interprétation : Laurence Pagès
Création en résidence à Mains d’œuvres, Saint-Ouen, 2007.
Avec le soutien de l’Atelier de Paris – Carolyn Carlson et le prêt de studios du Centre national de la danse et de la MPT Jules Vallès – Villejuif.
Contact compagnie : Anne Massot/cie.dupetitcote@laposte.net

Prochaines représentations :
28 juillet et 7 août 2007 au Sentier sculpturel de Mayronnes (Aude) à 17h. Randonnée de 3h30.
Renseignements et réservations : 04 68 90 76 23

Le roseau

En partenariat avec le Parc naturel régional des caps et marais d'Opale et la ville de Saint-Etienne-au-Mont, La compagnie du Petit Orphéon a réalisé une première étape de création de son prochain spectacle : Le roseau. Voici quelques photos des ateliers pédagogiques, des balades musicales autour des mares des dunes d'Ecault et des projections musicales des 22 et 23 juin derniers.

L'écriture de la musique n'est pas terminée. Ils sont à la recherche de nouveaux partenaires pour monter d'autres étapes de création d'ici 2008.






Pour plus d’informations sur leurs spectacles, voici un lien pour vous documenter : www.lepetitorpheon.com

Compagnie Musicale le Petit Orphéon
722 / 10 rue Philippe Auguste Jeanron
62200 BOULOGNE SUR MER
06 14 76 02 36

7.05.2007

La Bête à deux dos ou le coaching amoureux


En tournée cette été, la première création facilitée par le réseau "Arts du Chemin" :
La Bête à deux dos ou le coaching amoureux
de Yannick Jaulin, par et avec Angélique Clairand


web_©JEAN-LOUIS FERNANDEZ

La Bête à deux dos ou le coaching amoureux: Ne perdons pas de vue nos origines ! La bête à deux dos ou le coaching amoureux a pour vocation la découverte ludique de l’animalité qui est en chacun de nous. Une comédienne se reconvertit dans une nouvelle discipline très en vogue : le coaching amoureux. Cette « cochère » tentera de conduire ses patients à bon port en se servant de ses origines rurales et de son observation des animaux pour mieux parler des amours humaines. Grâce à la méthode qu’elle a mise au point, elle décide de passer du coaching individuel au coaching collectif en jardin. Rien de tel qu’une confrontation à l’autre pour favoriser la rencontre !!! Pister la bête en amour sans savoir si elle pourra en faire des médications pour les solitudes des humains, c’est pathétique et heureux à la fois, la vie quoi !
Angélique Clairand


Détails Tournée 2007:
Le 14 juillet à 18h00 et le 15 juillet 2007 à 22h00 au Jardin des Histoires à Pougne Hérisson (Deux-Sèvres), réservation : 05 49 64 19 19
Les 19 et 20 juillet à 19h30 aux Contres-plongées de l'été à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), réservation : 04 73 42 69 89
Le 26 juillet à 14h30 et le 27 juillet à 16h30 au Festival des Grands Chemins à Ax les Thermes (Ariège), réservation : 05 61 64 39 03
Le 5 août à 16h00 au Parc de Clères (Seine-Maritime), réservation : 02 35 33 23 08
Les 8 et 9 août à 17h00 à l'Abbaye de Daoulas (Finistère), réservation : 02 98 25 84 39
Du 13 au 18 août à 22h15 au Festival des Bravos de la nuit à Pélussin (Loire), réservation : 04 74 48 62 62
Le 21 août à 21h00 au festival cours du soir de Cusset (Allier), réservation : 04 70 30 89 45
Le 26 août à 16h00 au Domaine de la Roche Jagu à Ploezal (Côtes-d'Armor), réservation : 02 96 95 62 35
Les 27, 28 et 29 septembre dans le cadre de la Coupe du monde de rugby à Saint-Etienne (Loire), réservation : 04 77 37 62 79
Le 22 septembre au centre culturel de Terrasson (Dordogne), réservation : 05 53 50 13 80
Le 19 octobre à 20h30 au Centre culturel de la Ricamarie (Loire), réservation : 04 77 80 30 59

Jeu et conception : Angélique Clairand
Collaboration artistique et direction d'acteur : Cécile Bournay
Régie générale et création lumière : Thomas Chazalon
Chorégraphie : Axelle Mikaeloff
Construction décor : Nicolas Henault
Réalisation costume : Marie-Frédérique Fillion
Régie lumière : Sébastien Destrumelle
Administration : Laurence Rotger, Annick Boisset

Coproduction : Le Beau Monde ? Compagnie Yannick Jaulin, la Compagnie des Lumas, dans le cadre du réseau des Arts du chemin : le centre culturel / scène conventionnée de Terrasson, le Nombril du Monde à Pougne-Hérisson, le domaine départemental de la Roche Jagu / Conseil Général des Côtes d’Armor, et le Parc de Clères / Conseil Général de Seine Maritime

Avec le soutien de : l’Espace Chambon de Cusset, la Villa Gillet à Lyon.

7.02.2007

Rencontres professionnelles Arts du chemin

Les Arts du Chemin
Nouvelle forme ou nouvel avatar ?
Rencontre-cénacle-laboratoire, les 4 et 5 septembre 2007
au Nombril du Monde, jardin d'histoires, Pougne-Hérisson (79)


"Spectacles dans la nature", "Spectacles en parcs et jardins", "Spectacles en lien avec l'environnement", les Arts du Chemin recouvrent des formes artistiques du spectacle vivant explorant les rapports entre l'homme, le spectateur, l'artiste, son oeuvre, le paysage et la nature.

Qu'est-ce qui fait la spécificité d'un spectacle dans/sur la nature, le paysage ? Qu'est-ce que cela implique en terme de formes, de contenus, de publics ? Les Arts du Chemin favorisent-ils de nouveaux liens ? Apportent-t-ils de nouvelles réponses à l'éternelle question de la démocratie culturelle ?

S'agit-il ici de l'émergence réelle d'une nouvelle forme de spectacle vivant ou bien d'un nouvel avatar, d'une nouvelle catégorisation ?

Le réseau des Arts du Chemin[1] vous convie à deux journées de réflexion, d'échanges et de débats autour de ces problématiques.
Il s'agit de croiser les regards d'artistes, de professionnels du spectacle vivant, de paysagistes et professionnels de l'environnement ou responsables de parcs et jardins...

Ces deux journées seront aussi l'occasion de rencontres, temps artistiques, benaiseries à Pougne-Hérisson,...

Votre présence nous paraissant pertinente, voire absolument indispensable (!), nous serions heureux de vous accueillir à Pougne-Hérisson durant ces deux jours que vous pouvez d'ores et déjà réserver sur vos agendas...

(Ils seront sûrement là : Isabelle Auricoste, Angélique Clairand, Denis Lecat, Frédéric Bonnemaison, Gabriel Lucas,Claude Gudin, Jean-Paul Dumas, Yannick Jaulin, Pascal Rome,...)

Nous vous enverrons de plus amples informations (planning, intervenants,...) dans les semaines à venir et nous tenons à votre disposition pour répondre à toutes vos questions d'ici là.

Artducheminement vôtre,

L'équipe du Nombril du Monde et des Arts du Chemin


[1] Le réseau des Arts du Chemin a été co-fondé en 2005 par Jean-Paul Dumas, directeur de la scène conventionnée de Terrasson (Périgord), Denis Lecat, chargé de programmation du domaine de la Roche Jagu (Côtes d'Armor) et Gabriel Lucas, directeur du Nombril du Monde à Pougne-Hérisson (Deux-Sèvres).



Le Nombril du Monde – 79130 Pougne-Hérisson / tel : 05 49 64 19 19 / www.nombril.com/ blog : www.nombril.com/ete2007/

courriel : artsduchemin@nombril.com
blog : http://artsduchemin.blogspot.com/



6.22.2007

J..DIN

sera la prochaine création des Chercheurs d’Air (création printemps 2008). Ce projet est né d’un questionnement aigu sur notre relation au vivant.


De tout temps, le jardin a été un terrain de jeux et d’enjeux essentiels : philosophiques, politiques, épicuriens ou religieux. Et s’il devenait un lieu de résistance dans ce monde de plus en plus hors-sol ?


Nous explorons le rapport complexe de l’homme à la nature. Notre mode de création se nourrit de théâtre de rue, d’art contemporain et de danse.


Le jardin potager et ses composantes sont notre matière première : la terre, le monde végétal et animal, la présence ou l’absence de l’homme, sa trace, ses outils. Nos expérimentations plastiques et théâtrales interrogent le masculin et le féminin, préfère l’intime au spectaculaire, offre une vision ludique, poétique mais aussi troublante, voire dérangeante de ce remue-ménage au potager.




Auteur, metteur en scène : Dominique Lemaître / Plasticienne, scénographe : Isabelle Jobard
Création musicale et sonore : Jean-Michel Trimaille / Comédien : Alain Fabert / Danseuse : Cécile Mont-Reynaud

Chargée de production et de diffusion : Julie Chevallier, 06 72 87 63 69, julie.chevallier@gmail.com

Cie des Chercheurs d’Air, 3 rue François Bourdeaux, 39170 Lavans-lès-St-Claude,
03 84 42 34 07 , ciechercheursdair@free.fr

Rencontres professionnelles de Arts du chemin

Bonjour,

la date est confirmée : les prochaines rencontres professionnelles des Arts du chemin auront lieu les 4 et 5 septembre au Nombril du Monde (pas moins) à Pougne-Hérisson, dans les Deux-Sèvres. On annonce du beau monde (vous, peut-être). Prochaînement, plus d'infos sur ce blog.

Denis Lecat,
coprésident du réseau.

4.10.2007

L'Erreur de Darwin

"L'Erreur de Darwin", coproduction 2006 de la compagnie Les Tiroirs Noirs et du Domaine Départemental de La Roche Jagu, sera joué à Morlaix samedi 14 avril à 15h15 et 20h au Couvent des Ursulines, 2 rue de Bréhat.



Conférence fantaisiste entre Chaplin et Star wars, avec trois bouts de ficelles ou presque, d'une poésie drôle et intelligente, c'est un spectacle écrit et joué par Hervé Le Men depuis quelques années, et mis en scène par Julien Mellano en 2006. Sur l’île de Madère le vent emporte à la mer les scarabées aux grandes ailes. Darwin en déduit que « le défaut d’ailes chez tant de scarabées est du à l’action de la sélection de la nature ». Précisément à Madère, Un scarabée aux grandes ailes monte une station météo et ouvre une école de pilotage dans le vent parce qu’une femme-scarabée hésite à faire des bébés avec lui. Dans leur conquête de l’air, les scarabées dignes des aventuriers poètes de l’Aréopostale, se donnent deux contraintes supplémentaires à leur persistance : l’exploration et la création de grands récits. Ils s’adaptent, ils évoluent, ils mutent…

C’est une histoire de scarabées, de deltaplane, de météorologie, d’aventure, de liberté, de risques, de responsabilité, d’amour et de créativité. Il y a aussi l’ennemi à combattre : le conservatisme autoritaire incarné par : Ralph Pitsburgh, scarabée sans aile et Président-bouffon
du PPDCV (Parti Populaire Démocratique Contre le Vol).


Extraits video en ligne :
- au Lavoir moderne parisien :
http://tv.rueleon.net/tv.rueleon.php?Id=214

- sur youtube :
http://www.youtube.com (taper dans la fenêtre "search")

Cie Les Tiroirs Noirs :

3, rue du Jourdain / 75020 PARIS
Tél : +33(0) 1 43 66 37 08 – Mobile : +33 (0) 6 77 97 02 86
eMail : contact@lestiroirsnoirs.fr — Site web : http://www.lestiroirsnoirs.fr

3.30.2007

Le Lotus et la Rose

La compagnie L'oiseau -tonnerre a mis en chantier une création franco-khmère pour les parcs et jardins, Le Lotus et la Rose.






L'idée originale de cette création utilise une trame française ("la belle et la bête") et une trame khmère ("le Reamker" le Ramayana cambogien). Ce spectacle propose avant tout une rencontre entre deux cultures : la culture khmère (notamment à travers la danse des apsaras), et notre culture occidentale ; tradition et modernité se mélangeront pour raconter le destin de deux femmes : la Belle Rose et la non moins belle Sita.

Cette création en paroles, musiques et mouvements, réunira 12 artistes (dont 6 artistes cambodgiens de la Cie Sovanna Phum de Phnom Penh). La première aura lieu à Phnom Penh en août prochain. Une tournée française est prévue pour juin juillet 2008 ; Fidèle à notre esprit, nous souhaitons présenter "le Lotus et la Rose" dans des espaces naturels (parc, jardin, etc...) ;

Nous sommes actuellement à la recherche de partenaires pour diffuser cette création à laquelle nous tenons beaucoup. Enfin, pour d'autres raisons, il est important pour nos amis cambodgiens de pouvoir présenter en France, une petite partie de leur culture. Des ateliers d'inititiation aux danses traditionnelles khmères, des concerts et des lectures pourront également se mettre en place, à l'occasion de leur venue.

Jean-Claude Tessier, Coordinateur du projet.
- Dossier de présentation et dvd sont disponibles.
Chemin Massou / 64110 Saint-Faust / Tel : 06 82 06 98 77 / 06 76 67 23 59 / courriel : oiseau.tonnerre@orange.fr

3.28.2007

TENTATIVES VAGABONDES - promenade préparées

Crédit photo : Quentin Bertoux


Loin d’une pratique scénique spectaculaire ou évènementielle, je propose de faire l’expérience d’une rencontre singulière avec un site.

Il s’agit d’une immersion, d’un cheminement qui (dé)place, (dé) construise, (dés)oriente le marcheur de manière ludique et modifie par là-même la relation qu’il établit ordinairement à son environnement. Cette traversée d’un paysage est centrée sur tout ce qui est en mouvement autour de nous, visible ou invisible. Les "Tentatives vagabondes" sont jalonnées de consignes simples données en direct. Elles sont accessibles à tous, sans distinction d’âge, aux petits marcheurs comme aux plus avertis. La distance à parcourir est modeste. Il importe plus de se livrer au jeu de la découverte, de l’échange et de l’expérience.

Durée variable / Conditions techniques : aucune

Premières représentations :
Dans le cadre de l’exposition "Marcher..." organisée par Maison des arts Georges Pompidou à Cajarc
- Saint Cirq Lapopie le 19 mars 2006
- Cajarc le 20 mai 2006
- Carennac le 22 avril 2006
- Sauliac-sur-Célé avec le Parc Naturel Régional des Causses du Quercy - 4 juin 2006
- Calce le 8 juillet 2006 - Festival Les Horiziodes -
- Lille les 28 et 29 octobre dans le parc de la Citadelle en partenariat avec la Malterie .

Ce projet à reçu l’aide à la création du Ministère de la Culture et de la communication/DRAC Midi-Pyrénées , du Conseil Régional Midi-Pyrénées et de la Ville de Toulouse. Avec le soutien de la Maison des Arts Georges Pompidou de Cajarc.

Contact :
Groupe Unber Humber
Patricia Ferrara
17, rue de la Cartoucherie
31300 Toulouse
Tél : 06 32 75 46 96
patriciaferrara@free.fr
patricia-ferrara.com

Ailleurs


*Evénements 2007*

-Fête des jardins Dole (Jura) 3 Juin (2 représentations)
-Vivacité OFF Sotteville les Rouen (Haute Normandie) 22-23 Juin (4
représentations)
-Théâtre de la tête Noire (Scène conventionnée) Orléans (centre) 24 juin (1 représentation)
-Festival au Monasterio de Piedra Saragosse 17-19 Juillet (6
représentations)
-Festival de la Côte d'Opale. Boulogne sur mer (Pas de Calais)- 22 Juillet (1 représentation)
-Festival "Street Art" Luxembourg 11 Août (2 représentations)
-Label Rue Alzonne (Aude) 22 Septembre (1 représentation)
-Quartier Libre Montpellier (Hérault) 13 Octobre (2 représentations)
-Château d'Avignon - Conseil général des Bouches du Rhône 28 Octobre (2
représentations)
D'autres dates sont en cours de programmation
Photo C.Bulett

"ailleurs"
Spectacle musical suspendu,
entre ciel et terre,
Pour parcs, jardins et autres endroits paisibles,


Crédits photo : JM Coubart, E. Allera et Claire Bullett


Eclos d'un étrange cocon
Flottant dans les hauteurs…
Un face à face inattendu et touchant entre
Un violoncelle et sa muse,
tour à tour complices, adversaires, doubles…
De leur rencontre naîtra un voyage musical teinté de fantaisie, d'humour et d'émotion.
Les multiples péripéties de ce duo fantasque, nous invite dans
un univers insolite
un peu ici, un peu…"ailleurs"


Cie de si de la
8,rue de la poésie
34000 Montpellier
ciedesidela@free.fr
http://ciedesidela.free.fr
Contact : Christelle Delhaye
06 67 50 22 39 / 04 67 68 17 92

3.13.2007

Quelques infos en avant-première

Bonjour,

Les prochaines journées professionnelles devraient avoir lieu la première semaine de septembre (5-6, à confirmer) au Nombril du Monde, à Pougne-Hérisson, dans les Deux-Sèvres. On vous en dit plus dès qu'on en sait plus.

En attendant, vous pouvez toujours aller sur le site du Palais de Tokyo, et regarder le programme des Etats Généraux du Poil, organisés par le Collège de 'Pataphysique, les 30, 31 mars et 1er avril prochains (et c'est pas un poisson !). Plus de quarante interventions savantes et artistes pour parvenir au chatouillement suprême : http://www.palaisdetokyo.com/

Denis Lecat,
Co-coprésident du réseau des Arts du Chemin

3.12.2007

La Cage




Voici des informations au sujet de "La Cage" de la Cie Les P'tites Marguerites :

« La Cage » est un conte féerique, une fantaisie à l’air libre, une fable à géométrie variable.
Silence et immobilité : un personnage mi femme — mi félin dans une cage au centre du public.
Surprise et instants magiques : regards échangés sans un mot, sans retenue ni arrière-pensée, droit au but. Un spectateur entre dans la cage : liens créés au cœur de la respiration,
des sensations, de l’émotion qui chavirent.

Voyage au centre de l’être humain.
En bref : solo muet atypique, onirique et interactif, pour la ville ou les champs, 50 minutes

Contact :
Delphine Mélèse
Compagnie Les P'tites Marguerites
29 rue de la Méditerranée
34070 Montpellier - France
Tél. 0033 (0) 87 110 79 55
GSM 0033 (0) 60 714 55 93